On entend dans les rues de Médine les cris de joie des gens de la sphère céleste. De la simple maison pleine de sincérité de l’Imam Kãdhim (AS) se lève une lumière vers le ciel. Les étoiles sont plus lumineuses et la lune luit comme le soleil. Un cri brise le silence des cieux pour mettre fin à l’attente amoureuse d’un père; et les lèvres lumineuses du septième Imam sourient. Notre honorable Imam Ridhã trouve en Fatima Ma’ssumeh une sœur, une autre Zaynab pour un autre Hussayn. Oui, Médine est embaumée de l’odeur de Fatima Ma’ssumeh (SA).
L’Imam Sãdiq (AS) avait prédit avant la naissance de l’Imam Kãdhim (AS) la naissance de l’honorable Ma’ssumeh (SA), cependant la famille de la Wilayãt attendit pendant plus de 45 ans la naissance de cette enfant de haut rang.
Ce qui rend cette attente plus profonde, c’est que la mère de l’Imam Ridhã (AS) et de l’honorable Ma’ssumeh (SA) est l’honorable Najma, qui sa vie durant n’a donné naissance qu’à deux enfants. L’Imam Ridhã était né 25 ans avant l’honorable Ma’ssumeh (SA). Par conséquent, l’honorable Najma et l’Imam Ridhã (AS) attendirent toutes ces années la naissance de cette honorable dame.
Source: Extrait de «Qom dans le trésor des savants», Hãjj Sheikh Mohammad Sharif Rãdhi.
source : tebyan