« Aux États-Unis ont besoin plus d’éléments de levier tandis que nous cherchons à créer les conditions pour créer une façon de se détendre à la guerre. L’élément clé (...) est d’utiliser notre économie collective occidental-arabe d’intelligent et stratégique pour aider les secteurs émergents autonomes (syrienne) », lire dans un rapport publié lundi par le magazine américain The National Intérêts.
La réalité, selon la publication, c’est que vous malgré les efforts déployés par la maison blanche et ses alliés, le président syrien Bachar al-Assad, « aller n’importe où », pour cette raison, l’objectif de l’utilisation de l’économie n’aidera pas à « persuader » de Al-Assad à laisser le pouvoir entre les mains de son successeur.
Et qu’en échange de sa démission, la partie américaine facilitent l’accès syrien à une aide financière de Washington et ses alliés pour la « reconstruction » du pays, a ajouté.
Les estimations de rapport qui construisent la Syrie dévastée par les conflits armés dans plus de six ans, il faudra environ 100 milliards dollars par an, une somme d’argent que, selon le magazine américain, al-Assad et ses alliés ne peut-être pas se permettre de débourser.
La publication souligne que cette « transition » ne sera pas le produit des « pourparlers neutres » à Genève (Suisse), bien que « nous devons conditionner notre support d’aide à la reconstruction de la Syrie à la volonté du nouveau gouvernement de limiter son soutien à la résistance islamique au mouvement du Liban (Hezbollah) », outre la protection promise pour tous les groupes minoritaires du pays arabes.
Se conformant à tous que, cependant, le nouvel exécutif de Syrie ne sera pas une instance parfaitement démocratique, conclut le rapport.