L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Le Coran est le dépôt d’Allah [donné] à Ses créatures, il est donc souhaitables pour tout Musulman d’observer ce dépôt et de lire [un minimum de] 50 versets du Coran chaque jour »
Usul-ul-Kafi, vol. 2, p. 609
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Quelqu’un qui récite le Coran n’aura besoin [de personne], et n’aura pas la suite besoin de rien. Mais concernant la personne [qui ne récite pas le Coran], rien ne le rendra indépendant [et il aura toujours besoin des autres] ».
Thawabul-A’mal, p. 230
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Il est conseillable à la personne qui lit le Coran que lorsqu’elle parvient à un verset du Coran dans lequel il y a une requête pour quelque chose qui demande à Allah pour cette chose, ou lorsqu’elle atteint un verset du Coran dans lequel il est fait allusion à la punition, qu’elle demande à Allah la protection du feu de l’Enfer et de la punition ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Trois choses se plaindront à Allah, le Noble le Grand, [le Jour du Jugement] : une mosquée désertée dans laquelle les gens de la ville n’ [y] lisaient pas la prière, un Savant qui était parmi les ignorants [toutefois, les gens se servaient pas de lui] ; et le Coran qui n’était pas lu et était laissé que la poussière s’amasse dessus ».
Usul-ul-Kafi,vol. 2, p. 613
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Allah récompensera la personne qui lit beaucoup le Coran et fait une promesse avec lui pour essayer de le mémoriser même si cela pourrait occasionner une grande difficulté, d’une double récompense ».
Thawabul-A’mal, p. 227
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui garde le Coran et agit aussi selon lui sera avec les Anges nobles, dévoués le Jour du Jugement ».
Usul-ul-Kafi, vol. 2, p. 603
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui lit le Coran et est un jeune croyant, le Coran se mélange avec sa chaire et son sang, et Allah, le Noble et Grand, le placera avec les Anges nobles, dévoués. De plus, le Coran agira comme une barrière [entre lui et le Feu de l’Enfer] le Jour du Jugement ».
Thawab-ul-A’mal, p.226
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Assurément, le Coran ne doit pas être lu en hâte ou très rapidement. Il doit plutôt être lu lentement, par parties mesurées. Toutes les fois que vous atteignez un Verset qui parle du Paradis, alors arrêtez-vous [à ce Verset] et demandez à Allah [les délices] du Paradis. Et à chaque fois que vous parvenez à un Verset qui parle de l’Enfer, alors arrêtez-vous [à ce Verset] et cherchez protection d’Allah du Feu de l’Enfer [et de la punition] ».
Usul-ul-Kafi, vol. 3, p.301
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Je souhaiterai voir un Coran dans chaque maison afin qu’à travers ceci, Allah repousserait Satan [de cette maison] ».
Fadhl-ul-Qur’an, p. 669
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Un fils d’Adam sera appelé le croyant pour le jugement, le coran se présente devant lui d’une façon très merveille et dit c’est moi le Coran et voilà ton serviteur croyant qui se fatiguait beaucoup pour me lire, me récitait durant toutes les nuits, en pleurant quand il me récite, il faut le faire satisfait comme il me satisfaisait, il dit : en ce moment il dit : Mon serviteur tends ta main droite, et prends plein de la satisfaction de Dieu, et remplit sa main gauche par la miséricorde de Dieu puis on lui dit : ce paradis est licite pour toi, tu lis tu montes, quand il récite un Verset Il monte une étape »
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Il est bon pour un musulman de n’est pas mourir jusqu’à ce qu’il apprend le coran, ou bien il soit dans le chemin de l’apprendre ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Si Dieu que sa grandeur soit exaltée réunit les premiers et les derniers et soudain une très jolie personne vient qu’on n’a jamais vu comme lui, si les croyants le regarde-il est le coran – ils disent : celui –ci fait parti de nous, il est la meilleure chose que nous avons vu, quand il les approche, il les paye (jusqu’à ce qu’il dit jusqu’à ce qu’il s’arrête à la coté droite du trône, en ce moment Dieu que sa grandeur soit exaltée dit : je jure par mon honneur et par ma haute place aujourd’hui je vais honoré celui qui t’a honoré et j’insulte celui qui t’a insulté ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Comprenez ce Coran contient la lumière de la piété, les lumières de, il n’a qu’à tourner ses yeux et il les ouvre pour allumer sa route, la pensé c’est la vie du cœur d’une personne qui analyse, comme celui qui a la lumière marche dans les obscurités ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui lit le coran chaque fois qu’il arrive à un verset qui a une question ou crainte, il demande le bonheur qu’il espère et demande à Dieu de le protéger de l’enfer et des supplices».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui maîtrise le coran et qui l’applique sera avec les anges très proche de Dieu ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui lit le Coran et le maîtrise difficilement, par la difficulté de le maîtriser il a deux bénédictions ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui récite le coran étant jeune croyant le coran se mélangera avec sa viande et son sang, et Dieu le fera avec les gens les plus proches de lui, le coran deviendra sa défense le jour du jugement, il dit : o seigneur tout travailleur est payé de son travail sauf mon travailleur, il faut le mettre dans ta haute générosité, il dit : en ce moment Dieu le couvre deux habits parmi les habits du paradis, on met un diadème de la vertu, puis on lui dit : est-ce que tu es satisfais de cela ? En ce moment le Coran dit : o seigneur je souhaitais plus que ça pour lui, en suite on lui donne la paix par sa main droite, et l’éternité dans sa main gauche, puis il rentre au paradis puis on lui dit : lis un verset coranique tu montes à un étape, en suite on lui demande : est ce que nous t’avons satisfais ? Il répond : bien sûre, il dit : celui qui le lit beaucoup et se fatigue pour l’apprendre en tête Dieu le donnera une bénédiction deux fois plus que ça ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui a été offert le coran et la foie, il est comme le parfum son odeur est bon, son goût est aussi on, quant à celui qui n’a pas été offert le Coran ni la foie, il est comme un coloquinte son goût est douloureux, il n’a pas l’odeur »
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui lit le Coran et mange les gens avec lui, viendra le jour du jugement avec un visage d’os sans viande ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui lit cent verset coranique et prie par elles dans une nuit Dieu le donnera Ghounout d’une nuit, celui qui récite deux cent versets en dehors de la prière de la nuit Dieu écriera pour lui une ghintar de la bénédiction dans lawhoul mahfouz, le ghintar c’est mille deux cent Oughiya, et un oughiya est plus grand que la montagne de Ouhoud ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : « Celui qui oublie une sourate du coran, il se figurera dans l’image d’un homme très joli et dans un dégréé très élevé dans le paradis, quand il le voit dit : qui es tus, quel bel est-tu ! Je souhaiterais que tu sois pour moi, il le répond : Tu ne m’as pas reconnu ? Je suis tel sourate, si tu ne m’avais pas oublié j’allais te faire monter dans cette étape ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) dit : ( Ils ont rapporté de Yaghoub d’Ahmar qu’il dit : Je dis à Abû Abdullah : j’ai sur moi beaucoup de crédits je fallais oublier le coran, en ce moment Abû Abdullah dit : « le Coran, le Coran, comprend qu’un verset coranique et une sourate viendront le jour du jugement jusqu’à ce qu’ils monteront mille étapes c’est-à-dire dans le paradis, puis disent : si tu m’avais maîtrisé je t’allais envoyer ici ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : (Ils ont rapporté de Yaghoub Ahmar qu’il dit : Je dis à Abû Abdullah (a s) : que Dieu te pardonne ! J’ai eu des problèmes et des choses ça ne me reste aucun bonheur sauf il est perdu dans ces problèmes, même le coran j’ai oublié quelque chose de lui, il se panique lorsque j’ai parlé du coran, puis dit :)
« Un homme oublie une sourate du coran en suite il le vient le jour du jugement jusqu’à ce qu’il le fait monter quelques étapes, puis il dit : salut soit sur toi ! Il répond : à toi de même, qui es-tu ? il dit : je suis le tel sourate tu m’avais perdu et m’avait abandonné, mais si tu m’avais pris je t’allais te faire monter à cette étape, puis il indexas par son index puis dit : prenez le coran, apprenez le, il y a parmi les gens qui apprennent le coran pour qu’on dit celui-là est lecteur du coran, il y a parmi eux qui l’apprend pour avoir la bonne voie, on dit : telle personne a une bonne voix, le bonheur n’existe pas sur ça, il y a parmi eux qui le lit dans la nuit et la nuit et puis n’a pas besoin qui a compris et qui n’a pas compris ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : Ils ont rapporté de Sa’id bun A’araj il dit : « J’ai demandé Abû Abdullah d’un homme qui récite le coran puis l’oubli, puis le récite puis l’oubli, est ce qu’il a des péchés ? Il dit : non».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Le coran est contrat de Dieu sur sa créature, il est nécessaire pour un musulman de regarder son contrat, et de lire chaque jour cinquante verset ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « La maison dont on lit le coran, on adore Dieu que sa grandeur soit exaltée de dans, sa bénédiction devient abondante, les anges la visite, les satans s’éloignent d’elle, elle est la lumière des gens des cieux comme les étoiles donne la lumière pour les gens de la terre, et la maison dont on ne lit pas le coran, on n’adore pas Dieu, sa bénédiction sera peu, les anges la quittent, et les satans viennent de dans ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Il nous réunissait et nous ordonnait d’adorer Dieu jusqu’au lever du soleil, il ordonnait de lire celui qui lisait entre nous, celui qui ne pouvait pas lire il l’ordonnait d’adorer Dieu, la maison où on récite le coran et on adore Dieu son bonheur est toujours abondant ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Qu’est ce qui empêche un commerçant d’entre vous qui s’occupe de son marché, quand il revient dans sa maison ne doit pas dormir avant de réciter une sourate du Coran, il aura de chaque verset qu’il récite dix bénédiction, et dix péché sera effacé pour lui ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Il me fait plaisir de l’existence d’un coran dans la maison qui chasse les Satan ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Trois se plaindront chez Dieu, une mosquée détruite que ses gens ne prient plus de dans, un savant entre les ignorants et un coran monté que les poussières sont tombés sur lui, personne ne le lit ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Analysez le Coran il est arabe ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Il est détesté de lire sourate Ikhas par une seule respiration ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : Ils ont rapporté d’après Abû Basir, d’après Imam Abû Abdullah (a s) dans la parole de Dieu (jjl) il dit : « C’est-à-dire tu lis lentement et tu fais une bonne voix».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « le coran est descendu par la tristesse il faut le lire par la tristesse »
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Dieu que sa grandeur soit exaltée avait révélé à Moise fils d’Imran que si tu t’arrêtes devant moi t’arrêtes à la position d’un pauvre fatigué et si tu lis le taora il faut me le faire entendre par une voix de tristesse ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : Ils ont rapporté de Muawiya Ibn Ammar, il dit : « Je dis à Abû Abdullah (a s) : l’homme voit qu’il n’a rien fait dans l’invocation et dans la lecture jusqu’à ce qu’il lève sa voix, en ce moment dit : « Il n’est pas mal, comprends qu’Ali Bun Hussein avait la meilleure voix du coran entre les gens, il levait sa voix jusqu’à ce que les gens de la maison entendent, aussi Abû Diafar avait la meilleure voix du coran, quand il se levait dans la nuit il lisait en haute voix, ceux qui étaient en passage et autres se levaient et écoutaient sa lecture».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Chaque chose a une ruse, la ruse du Coran est la bonne voix ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Apprenez la langue Arabe comprenez qu’elle est la parole de Dieu dont qu’il a communiqué avec sa créature et les ancêtres ont parler; fin de citation ».
L’Imam Djafar as-Sadiq (a.s) : « Il est un homme non arabe de ma nation qui lit le coran par son accent les anges le monte à un accent arabe ».