Quelle la signification du verset 24 de la sainte sourate « Le butin » (Dieu s’interpose entre l’Homme et son propre cœur)?
Résumé de la réponse
Le mot arabe « Yahawl » dans le verset vient de la racine « Hawl » qui signifie s’interposer entre deux choses. Lorsque l’on évoque l’idée d’une interposition, cela exige d’abord, qu’il y ait deux objets pour qu’un troisième vienne s’interposer entre les deux premiers. Ensuite, il faut qu’il y ait entre les deux premiers objets, une proximité.
Concernant le mot « cœur », dans le verset qui nous est soumis, ce n’est pas le sens premier (à savoir l’un des principaux organes du corps humain) qui nous intéresse. Mais il s’agit plutôt de ce joyau divin dont dépend le genre humain et dont on attribue de nombreux états de l’âme, qu’ils soient des perceptions acquisitionnelles et présentielles comme l’amour, la haine, etc. Un cœur qui d’après le Prince des croyants, l’Imam Ali (béni soit-il) est tel un récipient et que le meilleur des cœurs est celui qui sait contenir les connaissances justes et les bonnes intentions ; un cœur qui fait honneur à la créature suprême et à sa science. Or, l’interposition et la distance, ici, n’a point de signification matérielle. Il s’agit d’une notion purement immatérielle et spirituelle, avec laquelle le Très Haut veut annoncer sa souveraineté sur toutes les pensées et sur tous les actes des êtres humains. Le Très Puissant évoque d’ailleurs cet état de fait dans le verset 16 de la sainte sourate Qâf : « Oui, Nous avons créé l’Homme et Nous savons ce que son âme lui suggère. Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire ». Là-bas, il est question de présence et ici l’on parle de la souveraineté divine mais aussi certainement de la présence. Bien entendu, on peut y apporter d’autres explications ou analyses. A titre d’exemple, on pourrait dire qu’avec la mort Dieu s’interpose entre l’être humain et son cœur, puisque la mort aussi intervient avec Sa volonté et Sa souveraineté et que c’est avec la mort que l’être humain arrive à la Résurrection. D’ailleurs, la suite du verset 24 de la sainte sourate le butin dispose que c’est vers Dieu que l’on sera rassemblé. Il en est de même avec tout autre moyen afférant à la mort et l’interposition interviendra, comme par exemple, l’égarement, puisque le contraire de l’égarement c’est la guidance et la guidance et l’orientation sont une sorte de vie. Autrement dit, lorsqu’un individu ne répond pas à l’invitation divine, il sera dépourvu d’une existence pure et il tombera et dans l’égarement, et sur le chemin menant à la mort. En effet, Dieu leur a scellé le cœur. Ce qui est important, c’est que l’égarement et l’oubli de soi sont dus à l’oubli de Dieu. Or, le Très Haut est encore plus proche de ceux qui sont les plus proches d’un être humain. Pourrait-on alors vraiment L’oublier ? Celui que tombe dans l’oubli de soi, est frappé d’une mort non souhaitée puisqu’il y a une distance entre lui et sa raison, son discernement.
En ce qui concerne les fruits et les résultats de l’interposition du Très Haut entre un individu et son cœur, on peut dire que cette proximité témoigne du fait que le Très Puissant est présent partout, et qu’Il contrôle tous et toutes Ses créatures. La puissance et le succès viennent de Lui. C’est Lui encore qui dirige les activités de la raison et de l’esprit. En conséquence, les êtres humains ne sauraient ignorer, ne serait-ce qu’une seule seconde, la puissance absolue du Très Haut.
Réponse détaillée
les mots clés et principaux du verset 24 de la sainte sourate « le butin » sont les mots « Yahawl » (mot arabe-ndlr) et « cœur ».
a- Le mot arabe « Yahawl » dans le verset vient de la racine « Hawl » qui signifie s’interposer entre deux choses. Cela signifie aussi, changement ou un lien ou intermédiaire entre deux choses.[1] Sur la base de la seconde signification, si par exemple, le soleil s’interpose entre la lune et la terre, le soleil fait obstacle. Lorsque l’on évoque l’idée d’une interposition, cela exige d’abord, qu’il y ait deux objets pour qu’un troisième vienne s’interposer entre les deux premiers. Ensuite, il faut en principe, qu’il y ait entre les deux premiers objets, une proximité qui est donc séparée par l’interposition du troisième objet.
b- Au sens propre du terme, le mot « cœur » signifie (en arabe-ndlr) changement ou bouleversement. Son second sens se réfère à l’un des principaux organes du corps humain qui se trouve à gauche de l’abdomen et dont la fonction est de réguler la circulation sanguine et assurer la vie.[2]
Concernant le mot « cœur », dans le verset qui nous est soumis, il s’agit plutôt de ce joyau divin dont dépend le genre humain et dont on attribue de nombreux états de l’âme, qu’ils soient des perceptions acquisitionnelles et présentielles comme l’amour, la haine, etc, même lorsque certains sont incapables d’avoir la perception par le cœur. En réalité le saint Coran suggère en réalité, ici, que le cœur n’est pas sain.[3] Etant donné que le cœur est l’un des principaux organes du corps humain, on peut tirer la conclusion que l’existence ou la vie tient de celui-ci. Ainsi, dans la culture et les usages coraniques, ceux qui sont dépourvus de clairvoyance et de discernement, on peut les décrire comme des individus qui n’ont pas de « cœur ». Feu l’Allameh Tabatabaï (que sa demeure soit au Paradis de Dieu) estime également que le cœur, muni de force intérieure et d’affections, représente la vie humaine et la fait fonctionner. [4] Or, le cœur est celui- même « qui ordonne, qui aime et qui déteste.
Autrement dit, on peut se demander pourquoi le Très Haut, a choisi parmi tous les organes du corps humain, une réalité qu’est le cœur pour s’interposer et pour en parler ? Ce alors que le Tout Puissant qui est le Créateur de l’être humain et qui domine et contrôle chaque membre ou organe du corps humain et qui peut en disposer quand bon lui semble. Pourquoi, alors Le Très Haut a choisi le cœur pour s’interposer et non pas l’œil, l’oreille, ou tout autre membre du corps humain ?
Réponse : Car, le livre saint des musulmans, le saint Coran, n’est pas exclusivement scientifique, mais aussi un livre pour guider, orienter. D’autre part, la voie de la raison et de la pensée n’est pas l’unique voie pour atteindre les connaissances divines, il y a aussi, ce que l’on appelle « la voie du cœur ». C’est la raison pour laquelle le noble Coran, dans de nombreux versets, fait directement référence au cœur et étant donné que le saint Coran est un livre céleste pour tous les gens, toutes les époques, tous les siècles et toutes les générations, il privilégie la voie du cœur et de la Fitra (disposition naturelle), par rapport à la voie de la raison et de la pensée.
Parfois, l’être humain, dispose d’une forte pensée à la lumière de laquelle, il avance. Parfois aussi, il avance avec le cœur aux côtés duquel se développe la pensée. Le noble Coran met à notre disposition les deux voies. Ceci dit, la base de l’éducation de l’être humain dépend de l’activation de son cœur et lorsque le cœur de l’Homme évolue et qu’il se focalise sur Dieu, alors il prendra de la valeur.[5] A ce propos, le Prince des croyants, l’Imam Ali (béni soit-il) affirme que le cœur ressemble à un récipient, le meilleur des cœurs c’est celui qui sait contenir les connaissances justes et les bonnes intentions.
Certains chercheurs et penseurs affirment à ce sujet que « le cœur fait honneur à la créature suprême et à sa science. C’est le cœur qui fait de l’être humain la créature suprême. C’est par l’intermédiaire du cœur qu’un individu connaît Dieu et Ses attributs, qu’il arrivera en fin de compte à prendre conscience des réserves divines. Donc, en réalité, le cœur est conscient de l’existence de Dieu, agit pour Lui et cherche à emprunter Sa voie. C’est à partir du cœur que l’on s’adresse à Dieu, que L’on prend à témoin, que l’on fait des bonnes œuvres pour Lui. Par conséquent, si l’être humain connait le cœur, il se connaitra soi-même et lorsqu’il arrivera à se connaître, il connaitra également Dieu. Au contraire, s’il ignore son cœur, il s’ignorera et lorsqu’il s’ignorera, il ignorera l’autrui et il ignorera certainement Dieu. Sont nombreux ceux qui ignorent leurs cœurs et s’interposent entre eux-mêmes et leurs cœurs.[6] Par conséquent, dans le verset 24 de la sainte sourate « Le butin » (Dieu s’interpose entre l’Homme et son propre cœur), le cœur n’a de signification matérielle. Or, l’interposition et la distance, ici, n’a point de signification matérielle. Il s’agit d’une notion purement immatérielle et spirituelle, avec laquelle le Très Haut veut annoncer sa souveraineté sur toutes les pensées et sur tous les actes des êtres humains. Le Très Puissant évoque d’ailleurs cet état de fait dans le verset 16 de la sainte sourate Qâf : « Oui, Nous avons créé l’Homme et Nous savons ce que son âme lui suggère. Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire »[7]. Cette proximité et cette présence ne sont évidement pas matérielles. Il s’agit, bien entendu d’une question spirituelle et complètement extranaturelle. La veine jugulaire étant physiquement parlant, l’organe le plus près entre un individu et son corps, Dieu est encore plus près que la veine à un être humain. En outre, le cœur d’un être humain est le canal de son discernement, de sa vision, de sa clairvoyance et de sa compréhension ; en un mot il est nécessaire pour l’existence rationnelle de l’Homme, sans laquelle, l’existence n’aura qu’un aspect purement matérielle et apparente. En effet ce verset indique que Dieu s’interpose entre l’individu et son canal de compréhension et de raison. Si l’on admettait que le cœur à l’instar de la veine jugulaire est très proche de l’être humain, on pourrait donc affirmer que Dieu s’interpose entre lui est la chose qui est la plus près de lui. Dans le verset 16 de la sainte sourate Qâf, il est question de présence et dans le verset 24 de la sainte sourate le butin également il est question de la souveraineté divine mais aussi certainement de la présence du Très Haut. Donc, être plus près que la veine est un signe de la présence de Dieu, même si le voile de l’ignorance nous empêche de sentir cette présence.[8] En outre, s’interposer entre l’être humain et son cœur, est aussi un signe de la domination et de la souveraineté de Dieu sur lui et sur son cœur. La présence est la principale condition de la souveraineté. En conséquence, nous sommes soumis à la volonté et à la souveraineté du Très Haut.
Il existe d’autres interprétations sur la notion de l’interposition :
- a) Dieu s’interpose entre l’Homme et son cœur avec la mort et étant donné que la mort arrive par la volonté divine et qu’elle est un signe de la souveraineté du Très Haut, après la mort l’individu, il y aura une distance entre lui et son cœur. Peut-être la suite du verset 24 de la sainte sourate le butin qui dispose que c’est vers Dieu que l’on sera rassemblé, fait allusion à cette mort. A ce moment l) ; il y a d’abord une distance entre l’être humain et son cœur et ensuite c’est avec la mort que l’être humain connaitra la Résurrection.
- b) Etant donné que la mort n’est pas nécessairement le départ de l’esprit du corps, avec tout autre moyen afférant à la mort, l’interposition interviendra, comme par exemple, l’égarement, puisque le contraire de l’égarement c’est la guidance et la guidance et l’orientation sont une sorte de vie. La première partie du verset en question qui dispose : « Croyants, répondez à Dieu et au Prophète lorsqu’il est vous appelle à ce qui vous donne la vie », en fait référence.[9] Autrement dit, lorsqu’un individu ne répond pas à l’invitation divine, il sera dépourvu d’une existence pure et il tombera et dans l’égarement, et dans le chemin menant à la mort. En effet, Dieu leur a scellé le cœur. « Dieu a scellé leurs cœurs et leurs oreilles et il y a un voile sur leurs yeux ».[10] Ce qui est important, c’est que l’égarement et l’oubli de soi sont dus à l’oubli de Dieu. Or, le Très Haut est encore plus proche de ceux qui sont les plus proches d’un être humain. Pourrait-on alors vraiment L’oublier ? Celui que tombe dans l’oubli de soi, est frappé d’une mort non souhaitée puisqu’il y a une distance entre lui et sa raison, son discernement. Au contraire, ceux qui se sont laissés guidés, (re)trouvent vie même si en apparence ils sont morts. « Ne pense pas que ceux qui ont été tués pour la cause de Dieu sont morts. Ils sont vivants auprès de leur Seigneur et reçoivent leurs subsistances ». [11] Il est tout a fait normal que lorsqu’avec la mort intervient la distance entre l’être humain, et son cœur, celui-ci sera dépourvue de la force de réfléchir, de voir clairement et de discerner et de comprendre. « Ils ont des cœurs par lesquels ils ne comprennent pas, des yeux avec lesquels ils ne voient pas, des oreilles avec lesquels ils n’entendent pas ».[12]
- c) Ceux qui oublient Dieu, le Très Haut les fera s’oublier eux-mêmes ; autrement l’oubli de Dieu chez eux se transformera à un oubli de soi. Et celui qui est frappé par l’oubli de soi, va se heurter à la situation suivante : il va y avoir une distance et une séparation entre cet individu et sa faculté rationnelle et sa faculté de perception. Autrement une distance le séparera son existence de son aptitude à discerner. Le Très Puissant nous dit à travers le saint Coran que : « Ne soyez pas comme ceux qui ont oublié Dieu, Il les a fait s’oublier eux-mêmes. Cela sont les pervers ». [13] C’est ainsi que ces individus sont frappés d’une mort non-souhaitée. Autrement dit, lorsqu’un individu ne répond pas à l’invitation divine, il sera dépourvu d’une existence pure et il tombera et dans l’égarement, et sur le chemin menant à la mort, car il oublie d’invoquer Dieu et de Lui obéir et par voie de conséquence il s’oublie.
- d) Certains textes considèrent que la phrase « Dieu s’interpose entre l’Homme et son propre cœur » a la signification suivante : parfois un individu décide de faire quelque chose. Ensuite Dieu l’en dissuade et Il ne le laisse pas poursuivre ou accomplir l’acte préalablement décidé.[14]
Il s’agit d’une interprétation moyennement acceptable, mais si l’on possédait l’argument rationnel conforme audit verset, confirmé par d’autres arguments, on se rendrait compte qu’il ne faudrait pas se limiter à la signification apparente du verset. En effet, comme les autres créatures, l’être humain est creux et vide. D’ailleurs, feu Cheikh Koleini en fait référence en citant un hadith dans son « osul kafi ».[15]
Par conséquent, l’être humain est creux et vide et donc, entre l’être humain et lui-même est rempli par la présence divine. Dieu est proche de tout le monde. Si Dieu est proche de tout le monde, Il l’est avec tous Ses attributs. Etant donné que les attributs existentiels du Très Haut sont Son Existence même et que si Ses attributs existentiels[16] sont présents, alors Ses attributs par action seront, par voie de conséquence, plus actifs et plus efficaces. [17],[18]
Les fruits d’une telle proximité :
1- Eu égard de cette proximité qu’évoque le verset 24 de la sainte sourate « le butin » en parlant de l’interposition de Dieu,, nous pouvons dire que l’être humain est en mesure de connaître Dieu beaucoup plus rapidement et mieux que son propre cœur. Et grâce à la science présentielle, il sentira et comprendra la présence de Dieu. Par conséquent, dans sa compréhension, il ne sera pas frappé d’égarement et ne saurait ainsi ignorer l’appel à l’unicité de Dieu (Tawhid) et à celui des pionniers de la voie du juste.
2- Etant donné que le Très Puissant connaît mieux le cœur d’un individu que lui-même, alors on ne saurait ni avoir des doutes concernant l’acceptation de l’appel à l’unicité de Dieu (Tawhid) et à celui des pionniers de la voie du juste, ni accepter cet appel en apparence. Au contraire, il est indispensable que le cœur et l’acte puissent se joindre dans cette croyance et dans cette foi.
3- Lorsque l’on prête de bons attributs à un être humain, il en est ainsi automatiquement à Dieu. C'est-à-dire que ses bons attributs sont d’office prêtés au Très Haut. Par conséquent, si un individu s’enorgueillit de sa croyance ou de sa bonne foi qu’il a acquise, cela montre son ignorance.[19] Et d’ailleurs, c’est en raison de cette ignorance que l’être humain se croit le seul propriétaire de son cœur.
4- Dieu est mesure de priver un individu, à tout moment et lorsqu’Il le décidera, de la jouissance de son propre cœur. Donc, il n’est pas ainsi dit que l’être humain peut toujours et en permanence réparer ses fautes et ses erreurs. Par conséquent, il doit épouser la piété au plutôt et ne pas laisser à demain, ce qu’il peut faire aujourd’hui.[20]
5- Cette proximité (l’interposition de Dieu entre un individu et son cœur) montre que le Très Puissant est présent partout et qu’Il contrôle les actes de Ses créatures. La puissance et le succès viennent de Lui. C’est Lui encore qui dirige les activités de la raison et de l’esprit. En conséquence, les êtres humains ne sauraient ignorer, ne serait-ce qu’une seule seconde, la puissance absolue du Très Haut. Ils doivent toujours appeler le Très Haut à l’aide et implorer Dieu dans toutes les circonstances.[21]
Dans un hadith relaté par Hisham Ibn Salem et attribué à l’Imam Sadegh (béni soit-il), il est dit que : « le verset 24 de la sainte sourate le butin veut dire que Dieu empêche une personne de croire que le faux est le juste ».[22]
Dans un autre hadith attribué encore à l’Imam Sadegh (béni soit-il), il est dit que : « Avec ses sens et ses yeux l’être humain peut être tenté par quelque chose, mais lorsque cette chose s’approche de lui, son cœur y renonce et s’aperçoit qu’il n’est pas bon de s’y aventurer ». [23]
Pour plus d’informations vous pouvez regarder les références suivantes :
- Mohammad Hossein Tabatabaï, Tafsir al-Mizan, tome 9 : le verset 24 de la sainte sourate « le butin ».
- Mohsen Ghera’ati, Tafsir-e-Nour, tome 4 : le verset 24 de la sainte sourate « le butin ».
- Jaafar Sobhani, la charte éternelle du saint Coran, p.295.
- - Nasser Makarem Shirazi, Tafsir-e-Nemouneh, tome 1, p.89.
[1] - al-Ragheb al- Isfahani, Mojam Mofradat Alfaz al-Qur'an, p.137
[2] - Jaafar Sobhani, la charte éternelle du saint Coran, p.295.
[3] - Nasser Makarem Shirazi, Tafsir-e-Nemouneh, tome 1, p.89.
[4] - Mohammad Hossein Tabatabaï, Tafsir al-Mizan, tome 9 : le verset 24 de la sainte sourate « le butin ».
[5] - Abdallah Javadi Amoli : la femme dans le miroir de la beauté et de la majesté, p.281.
[6] - Mohsen Feyz Kashani: Mhjat al-Beydha, tome 5, p.89.
[7] - La sainte sourate Qâf, 16.
[8] - Mon Amour est encore plus près de moi que moi-même; Mais je me sents loin de Lui.
[9] - La sainte sourate le butin, 24.
[10] - La sainte sourate la vache, 7.
[11] - La sainte sourate la famille d’Amran, 169.
[12] - La sainte sourate A’araf, 179.
[13] - La sainte sourate le rassemblement, 19.
[14] - al-Fadl ibn al-Hasan al-Tabrisi: Majma' al-Bayan, tome 4, p.820.
[15] - Cheikh Koleini : Osul kafi, tome 6, p.282.
[16] - Les différents attributs de Dieu : 1- les attributs de l’essence : qui dans leur synthèse seul leur constat comme la connaissance, l’existence, la puissance, etc., suffit. 2- Les attributs par action : ce sont des attributs qui dans leur synthèse, il ne suffit pas de voir l’essence divine, il faudra également voir cette essence en action, comme la création, le pardon, etc.
[17] - Abdallah Javadi Amoli, la raison de la prière, chapitre 7, p.213.
[18] - Extrait de la réponse n° 89 (site : 2951).
[19] - Mohammad Hossein Tabatabaï, Tafsir al-Mizan, tome 9, p. 58-60.
[20] - Tafsir al-Mizan, tome 9, p. 58.
[21] - Mohsen Ghera’ati, Tafsir-e-Nour, tome 4, p.313.
[22] - Tafsir al-Mizan, tome 9, p.62.
[23] -Ibid.