IRIB- La plupart des chefs de Daech sont des officiers de l’armée dissolue baathiste de l’Irak.
IRIB- La plupart des chefs de Daech sont des officiers de l’armée dissolue baathiste de l’Irak. <!-- Item fulltext -->
Cela a été révélé par le "Washington Post" se penchant sur la nationalité du principal chef de Daech, Abou-Bakr Al-Baghdadi.
Citant Abou Hamza, l’un des chefs terroristes, qui s’est enfui en Turquie, après les divergences de vue apparues avec la ligne de conduite de Daech, le "Washington Post" a dévoilé que les officiers baathistes sont dans les postes de commandement de Daech d’autant plus qu’ils décident les tactiques militaires et des plans de guerre. Pour le rappel, avec la chute du régime de Saddam en 2003 et la dissolution du parti baathiste, ce parti a continué ses activités destructives, grâce au soutien des partisans intérieurs et extérieurs. L’Irak a vécu, de très difficiles jours, sous la dictature de Saddam qui avait fait recours, durant les 24 années de son règne, à la répression, au massacre et à l’exode forcé de certaines confessions et ethnies. Le paroxysme des crimes du parti baathiste c’est, certainement, le massacre des Kurdes irakiens, dans l’opération Anfal entre 1988 et 1989. Selon les chiffres publiés, 182.000 Kurdes ont été tués ou portés disparus à la suite de cette opération. Les complots de ce parti se sont poursuivis, en collaboration avec Daech, après l’époque du Premier ministre Nouri al-Maliki lors des consultations qui se faisaient pour la désignation du nouveau Premier ministre, Haïdar al-Abadi. Ainsi la ville de Mossoul a été investie en juin 2014, avec la collaboration flagrante du parti dissolu baathiste et ses supporters dont les Etats-Unis, l’Arabie et Israël. La collaboration de Daech avec ce parti dissolu est très profonde. Les officiers baathistes qui sont expérimentés dans la répression, et qui massacraient facilement le peuple irakien, procèdent aujourd’hui, à des actes répugnants, de la décapitation des otages aux comportements ignobles envers les femmes Yézidis, sans compter d’innombrables d’autres crimes que ces terroristes n’hésitent de commettre avec un grand sang-froid.
Citant Abou Hamza, l’un des chefs terroristes, qui s’est enfui en Turquie, après les divergences de vue apparues avec la ligne de conduite de Daech, le "Washington Post" a dévoilé que les officiers baathistes sont dans les postes de commandement de Daech d’autant plus qu’ils décident les tactiques militaires et des plans de guerre. Pour le rappel, avec la chute du régime de Saddam en 2003 et la dissolution du parti baathiste, ce parti a continué ses activités destructives, grâce au soutien des partisans intérieurs et extérieurs. L’Irak a vécu, de très difficiles jours, sous la dictature de Saddam qui avait fait recours, durant les 24 années de son règne, à la répression, au massacre et à l’exode forcé de certaines confessions et ethnies. Le paroxysme des crimes du parti baathiste c’est, certainement, le massacre des Kurdes irakiens, dans l’opération Anfal entre 1988 et 1989. Selon les chiffres publiés, 182.000 Kurdes ont été tués ou portés disparus à la suite de cette opération. Les complots de ce parti se sont poursuivis, en collaboration avec Daech, après l’époque du Premier ministre Nouri al-Maliki lors des consultations qui se faisaient pour la désignation du nouveau Premier ministre, Haïdar al-Abadi. Ainsi la ville de Mossoul a été investie en juin 2014, avec la collaboration flagrante du parti dissolu baathiste et ses supporters dont les Etats-Unis, l’Arabie et Israël. La collaboration de Daech avec ce parti dissolu est très profonde. Les officiers baathistes qui sont expérimentés dans la répression, et qui massacraient facilement le peuple irakien, procèdent aujourd’hui, à des actes répugnants, de la décapitation des otages aux comportements ignobles envers les femmes Yézidis, sans compter d’innombrables d’autres crimes que ces terroristes n’hésitent de commettre avec un grand sang-froid.
source : french.irib