Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : " En vertu de la proposition présentée dans les pourparlers à Genève, nous sommes prêts à quitter les grandes villes que nous contrôlons, mais à la condition que tous les autres groupes également sur les villes sous son règne ", lit une déclaration publiée jeudi par Ansarollah.
Dans sa note, le mouvement yéménite estime que l'Arabie saoudite et d'autres groupes participant aux pourparlers à Genève sont responsables de «l'échec» de cette nomination et indique que " les conditions préalables, les obstacles et les échecs pendant les dialogues origine l'échec des négociations», tenue entre le 15 et le 19 de ce mois.
Ansarollah note que toutes les parties yéménites doivent engager à une solution durable et globale pour surmonter la crise dans son pays et de départ prometteur des grandes villes, ajoutant que Ansarollah devrait conserver son droit de lutter contre le groupe terroriste Al-Qaeda et prévenir ses progrès.
À cet égard, mentionne Ansarollah envoi d'une lettre au Secrétaire Général des Nations Unies (ONU), la mise Ban Ki-moon, sa "surprise" à des erreurs homologue constante à la fois avant le début des dialogues et des cours de son développement.
Se référant au délai de 44 heures fixé sur l'ordre du jour de la délégation de Ansarollah pour atteindre la ville suisse de Genève, la lettre fait remarquer qu'il était un plan prémédité et méticuleusement qui visait à empêcher les représentants «bons» ce mouvement pour rencontrer le Secrétaire général dans cette ville.
Il est à mentionner que le dialogue sur la crise yéménite à Genève a commencé le lundi 15 Juin par un discours de Ban et avec l'aide de la délégation du président yéménite Abdu Rabu fugitif Mansour Hadi ; cependant, en raison du refus de l'Egypte et du Soudan à accorder son air passe à travers le plan de la délégation d'Ansarollah, ce arrivé mardi à Genève et ne pouvait pas rencontrer le secrétaire général de l'espace des ONU.
" Ansarollah avait des propositions constructives pour l'établissement d'une trêve durable et immédiat afin de permettre le siège multilatérale imposée à la nation yéménite et , ainsi , faciliter la fourniture des besoins de base de Yéménites d'autoriser les importations de nourriture et de médicaments ainsi que l'exportation de produits pétroliers " , ajoute la note .
Malheureusement, poursuit-il, Ansarollah proposition n'a pas été acceptée par les parties a également rejeté l'approche du Secrétaire général de l'ONU pour parvenir à une trêve temporaire jusqu'à l'obtention d'un règlement politique ; ce qui montre leur intérêt pour " l'agression militaire continue contre le Yémen ".
Le 26 Mars, l'Arabie saoudite a commencé ses frappes aériennes incessantes contre le Yémen, sous prétexte de défendre la «légitimité» du président yéménite fugitif; et selon les estimations de l'ONU, à ce jour, au moins 1.000 civils ont été tués. Pendant ce temps, certaines organisations des droits humains affirment que les attaques ont fait plus de 4000 morts.
source : abna
