Trois semaines de consultation célèbre l’indépendance de la région semi-autonome du Kurdistan irakien, les hauts responsables politiques du régime Tel Aviv ne cachent pas leur ferveur à kurdes donnent leur appui à la création d’une hypothétique « kurde State ». Cette analyse journalistique peut être lu dans un article publié lundi dans le journal iranien Mashregh.
C’est ce délire parmi la classe politique israélienne qui traitent le passé 13 août la première de ce régime, Benyamin Netanyahu, lors d’une rencontre avec un membre du Congrès américain n’a pas hésité à montrer son Agrément pour les sécessionnistes kurdes.
« Les Kurdes sont courageux et pro-occidentale et une nation qui protège et développe nos valeurs, » a ajouté Netanyahu avant son interlocuteur.
Centre d’études que stratégique Begin-Sadate (BESA, pour son sigle en anglais) conformément à la position officielle du régime Tel Aviv déclare que « Israël a besoin d’un gouvernement kurde indépendant » dans le nord de l’Irak.
Pendant ce temps, l’israélien membre du Parti Likoud, Gideon Sareh, considéré par beaucoup comme le prochain Premier ministre du régime en 2019, a exprimé son soutien à la réalisation de la consultation l’indépendance kurde pour le 25 septembre à travers un tweet.
Dans le même temps, le régime israélien dans leur rendement à l’appui de ces requêtes, a organisé plusieurs conférences et des campagnes d’information à ce sujet dans les territoires palestiniens occupés, et tout ce qu’il veut pour « démontrer » leur soutien pour les Kurdes d’Irak, souligne le texte.
Mais loin de la réalité, des efforts d’Israël pour obtenir un Kurdistan indépendant masquent les autres raisons qui sont la stratégie pure, parce que si vous créez un « Etat kurde », après les votes, le régime de Tel-Aviv s’efforcera de déployer leurs forces armées à cet hypothétique nouveau pays.
Le 7 juin, la présidence du Kurdistan a appelé un référendum pour l’indépendance, malgré le rejet du gouvernement irakien et certains pays voisins, en particulier de Turquie.