La politique d'extrême-droite est accusée par ses éclats lors d'un rassemblement qui s'est tenu en décembre 2010 dans la ville de Français de Lyon (est), lorsqu'il a couru contre les musulmans qui priaient dans la rue lorsque les mosquées ont été remplies, par rapport à cet acte avec l'occupation nazie.
"Je suis désolé, mais pour tous ceux comme tellement à ceux qui se souviennent de la seconde guerre mondiale, si elle parle d'occupation, pourrait comparer. Parce qu'il s'agit d'une occupation du territoire. Certainement, non il y a blindé, pas des soldats, mais c'est également une occupation", dit Le Pen.
Dans le processus de ce mardi, Le Pen, pour sa défense, a fait valoir à l'obligation d'exprimer ce qu'ils pensent des millions de citoyens comme dirigeant politique.
« Associations sont subventionnées par l'État, bras armé du gouvernement » le leader du FN, qui a également fait observer avec le doigt à ses adversaires politiques pour « atteinte à la première force politique du pays » a affirmé.
Procureur Bernard Reynaud, Le Pen n'a fait usage de la liberté d'expression et a demandé son acquittement. Pour rendre les choses pire, il ajoute que « ces prières dans l'espace public ne sont pas imputables à l'ensemble de la communauté musulmane, mais à une minorité ».
Le verdict sera délivré en quelques semaines. La peine maximale rencontrée par la politique de droite est d'un an de prison et une amende de 45 000 euros.
Le Pen a été déjà été inculpé en juillet 2014, une fois lors d'un vote qu'ils abrogeant leur immunité en tant que membre du Parlement européen.
Organisations telles que l'Observatoire national contre l'islamophobie, le collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), la Ligue de défense islamique et la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme ont exigé Le Pen pour comparaître devant la justice.
Le front national connaît également des autres problèmes avec la justice, comme l'enlèvement du fondateur Jean-Marie Le Pen comme président d'honneur du parti et le présumé financement irrégulier de cette faction.
Depuis que Marine Le Pen a pris la présidence du groupe est restée un discours très dur contre l'immigration et l'islamisation du pays.
Il n'est pas la première fois que les politiciens et les autorités Français sont prononcent contre les musulmans. Les dernières déclarations du maire Français Robert Ménard, soutenu par le FN, peut le pourcentage élevé des enfants musulmans dans les écoles de la municipalité provoqué indignation et une enquête judiciaire préliminaire contre elle.
Une organisation non gouvernementale (ONG) Français a mis en garde en juillet dernier dans un rapport qu'islamophobes dans cette actes européens ont augmenté de 23,5 % dans les six premiers mois de 2015, par rapport à la même période de l'année précédente.
source : abna24