Le vendredi soir, six attentats terroristes quasi simultanées déstabilisés Paris, provoquant la panique chez les Gaulois et à travers l’Europe. Jusqu'à présent, 128 personnes ont été tuées et 250 blessés, 99 gravement malades sont comptés, selon l'agence de nouvelles française AFP.
Le groupe terroriste EIIL (Daesh, en arabe), qui opère principalement en Irak et en Syrie et a ample soutien financier de certains pays de la région et de l'Ouest, a revendiqué la responsabilité des attentats à Paris et menace d'attaquer Rome (Italie), Londres(Royaume-Uni) et à Washington (USA).
" Ces crimes montrent que l'application de doubles standards et de la division de terroristes en bons et mauvais entraîneront des conséquences désastreuses pour l'ensemble de la région (du Moyen-Orient) et pour le monde, et aucun pays ne bénéficie de la consolidation du terrorisme “, a souligné samedi iranien adjoint ministre des Affaires étrangères pour les Affaires arabes et africains, Hussein Amir Abdolahian.
De Vienne, capitale de l'Autriche, où il est d'assister à la deuxième ronde de discussions internationales sur la Syrie, Amir Abdolahian a souligné la nécessité pour tous les participants au forum Unis, déjà au courant de la grande menace mondiale du terrorisme, a publié un message fort de Vienne et de prendre des décisions efficaces pour lutter contre le terrorisme.
Il a également nié que le sommet de Vienne est de décider sur l'avenir politique du pays arabe, il est l'apanage de la nation syrienne.
Le diplomate persan a insisté pour que « Vienne II » devrait ouvrir la voie pour les Syriens en champions de la lutte contre le terrorisme sur son sol et de décider de l'avenir de leur pays.
Des représentants de 17 pays, ainsi que des émissaires et des fonctionnaires de l'Organisation des Nations Unies et l'Union européenne (UE) participent à ce cycle de négociations visant à trouver une solution politique à la crise en Syrie depuis Mars 2011.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, représentant le pays perse dans le premier tour de ces pourparlers eu lieu le 30 Octobre dernier à Vienne, est arrivé aujourd'hui à midi dans la capitale autrichienne à se joindre aux pourparlers.
Après le premier tour de discussions internationales sur la Syrie, qui a été marquée par des désaccords sur l'avenir du président syrien Bachar al-Assad, les participants ont publié une déclaration conjointe et pas réussi à atteindre « une compréhension », décrit comme crucial pour mettre fin à la crise dans le pays arabe.
Le « programme de neuf points » comprend l'établissement d'un cessez-le feu à l'échelle nationale, une transition politique menant à des élections et à intensifier la lutte contre le groupe terroriste EIIL, qui contrôle de vastes territoires syriens.
Quatre ans et demi de combats mettant en vedette divers groupes terroristes en Irak ont fait plus de 250.000 morts, selon les chiffres de l'opposition Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), basé à Londres (capitale britannique).
source : abna24