Pour prendre une grande personnalité comme un exemple à suivre dans la vie, et profiter de ses caractéristiques, il faut tenir compte de trois questions essentielles et axiales :
La personne qui sert d’un exemple à suivre. 2. La personne qui suit cet exemple. 3. Des choses devront qui devront être prises comme un exemple à suivre.
Les jeunes qui souhaitent suivre l’exemple de la vénérée Zaynab- bénie soit-elle), devront, nécessairement, s’évertuer, en premier lieu, à la connaitre et à se familiariser avec ses caractéristiques et particularités morales, ses programmes et ses objectifs, poursuivis dans la vie. Une fois cette connaissance parfaite acquise, les jeunes peuvent prendre la vénérée Zaynab comme un exemple à suivre et en s’inspirant de cette dame héroïque et exemplaire, ils pourront mener une vie saine, conjuguée du salut et de la félicité. Les plus importants traits saillants de la vénérée Zaynab, pour ne pas citer que certains d’entre eux, et desquels les jeunes peuvent s’inspirer, sont :
La science et le savoir.
La foi.
L’intelligence politique et économique étendue.
La connaissance totale et complète des objectifs du mouvement de l’Imam Hussein ainsi que des valeurs spirituelles de ce soulèvement.
L’obéissance et la soumission à l’Imam (béni soit-il).
Offrir ses enfants dans la voie du mouvement de l’Imam Hussein.
Humilier et mépriser les Taghut (les injustes).
Faire preuve d’endurance et de résistance face aux problèmes et aux difficultés.
Donner des éclaircissements sur le soulèvement de Karbala pour le propager et le consolider.
Il incombe aux jeunes musulmans de s’inspirer de ces caractéristiques de la vénérée Zaynab, à savoir l’acquisition de la science, l’endurance, le courage, le sens de la responsabilité, la propagation de la religion, l’obéissance et la soumission à l’Imam, pour pouvoir mener, avec la grâce et les bénédictions de Dieu, une vie, conjuguée de succès et de salut.
L’objectif essentiel et final de tous les prophètes consistait à éduquer et former, correctement, les êtres humains, et les conduite à la perfection et au salut éternel. Dans ce parcours, l’une des méthodes essentielles et l’une des approches pratiques consistent à s’atteler à cette formation, et à cette éducation, via les exemples, les modèles à suivre. En se référant au noble coran et aux hadiths des Imams Infaillibles (bénis soient-ils), nous constations que l’accent y est, considérablement, mis sur la formation et l’éducation de l’être humain par le truchement des exemples à suivre. Le noble coran présente, à maintes fois, les prophètes, les hommes jutes et les peuples comme des exemples et des modèles à suivre : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment ». « Certes, vous avez eu un bel exemple [à suivre] en Abraham et en ceux qui étaient avec lui, quand ils dirent à leur peuple: «Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d’Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l’inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu’à ce que vous croyiez en Allah, seul». Exception faite de la parole d’Abraham [adressée] à son père: «J’implorerai certes, le pardon [d’Allah] en ta faveur bien que je ne puisse rien pour toi auprès d’Allah». «Seigneur, c’est en Toi que nous mettons notre confiance et à Toi nous revenons [repentants]. Et vers Toi est le Devenir ».[1]
Dans la Sunna (la tradition), aussi, sont nombreux les hadiths des Imams Infaillibles (bénis soient-ils, qui nous sont parvenus. Ici, nous nous contentons de mentionner un hadith de celui qui est l’exemple parfait qui marque l’histoire de l’humanité, c'est-à-dire le vénéré Imam Ali (béni soit-il), dont toutes les dimensions de la vie nous sont un exemple, un modèle à suivre. S’agissant du fait que le noble prophète de l’islam( que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), nous lisons, ainsi, l’avis du vénéré Imam Ali(béni soit-il), rapporté dans la Voie de l’Eloquence( Nahj ul-Balâghah) : « la Sira du noble prophète( que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), est un exemple suffisant pour vous , et une preuve évidente concernant les vices du monde, ses défauts, ses disgrâces innombrables ; il a avait été privé de tout dans le monde, , tandis que ses flancs avait été répandus pour les autres, il a été privé du lait du monde et il se détourna de ses ornements ». Donc, prends ton prophète comme un exemple à suivre, d’autant plus qu’il est l’exemple le plus pur et le plus parfait. Le plus aimé des serviteurs auprès Dieu est celui qui suit Son prophète et lui emboîte le pas. Dans une autre phrase, le vénéré Imam Ali (béni soit-il), dit : « Certes, la Sira du noble prophète (que Dieu le bénisse, lui et les siens), est pour vous une preuve suffisante concernant les défauts et les vices du monde, dans le sens où, lui, et ses proches subiront la famine ; et ayant un rang élevé auprès Dieu, il se détourna, dans toute sa vie, des ornements du monde. Donc, lorsque tu veux prends un exemple, prends Son prophète comme un exemple à suivre, lui emboite le pas et suis le chemin qu’il a parcouru… »[2] Prendre un exemple veut dire un état d’esprit où l’homme suit, totalement, la personne qui lui sert d’un modèle à imiter. A ce propos, dans le noble coran, nous lisons : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment ». (La sainte sourate 33, le verset 21). Ce verset indique que le noble prophète (que Dieu le bénisse, lui et les siens), est pour vous un modèle complet et parfait et que vous pouvez, en l’imitant et lui obéissant, dans la soumission à Dieu et le Jihad dans le sentier de Dieu, corriger vos actes et se conduire dans le droit chemin.[3] Avec ce préambule, il faut dire qu’il est nécessaire de tenir compte de trois points, lorsqu’on veut prendre une personnalité comme le noble prophète (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), ou les Imams Infaillibles (bénis soient-ils), et les grands dignitaires religieux, pour un exemple à suivre :
La personne à qui nous voulons imiter et la prendre comme un modèle, un exemple à suivre dans notre vie, doit se caractériser par la science et le savoir, la foi en Dieu, la foi en le Jour de la Résurrection, la croyance aux prophètes divins et leurs successeurs, la sincérité, l’honnêteté, et la probité. Bref, il doit posséder toutes les bontés. C’est pour cette raison qu’il y a des hadiths qui nous préviennent de ne pas prendre n’importe qui comme un exemple à suivre. L’Imam Baqir (béni soit-il), dit : « Mon père, l’Imâm Sajjad (béni soit-il), m’a dit de ne pas fréquenter ni créer l’amitié avec cinq groupes. « Ô mon noble père, qui sont ces cinq groupes ? Lui demandais-je ? Il m’a répondu : « Ne fréquente pas le menteur car il est comme un mirage ; il éloigne de toi les choses qui sont proches et rapproche de toi les choses qui sont lointaines. Ne fréquente pas le dépravé car il te vend pour une bouchée ou moins d’une bouchée. Ne fréquente pas l’avare, car il ne te donne pas de ses biens lorsque tu en aurais besoin d’une partie (c’est-à-dire : il ne t’aide pas en cas de besoin). Ne fréquente pas le naïf, car il veut t’être utile, mais à cause de sa simplicité, il te nuit au lieu de t’aider. Ne fréquente pas la personne qui ne respecte pas les liens utérins, car Dieu l’a maudit trois fois dans le Coran ».
[4]
La personne qui prend quelqu’un d’autre comme un modèle à imiter, à suivre. Il doit, avant tout chose, connaitre, parfaitement, l’individu à qu’il veut imiter et suivre, dans ses actes et ses comportements, pour mieux dire, il doit faire le choix de ce modèle, avec conscience et en toute connaissance de cause. le vénéré Imam Sadiq (béni soit-il), voulait, peut-être, faire allusion à ce point, lorsqu’il avait dit : « Celui qui accomplit une œuvre, sans connaissance de cause, ressemble à quelqu’un qui prend un chemin qui ne mène à nulle part, plus il accélère la vitesse, plus il s’éloigne de sa destination ».
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C’est pour cette raison que le noble coran blâme l’imitation aveugle aux ancêtres. « Et quand on leur dit: «Suivez ce qu’Allah a fait descendre», ils disent: «Non, mais nous suivrons les coutumes de nos ancêtres.» - Quoi! et si leurs ancêtres n’avaient rien raisonné et s’ils n’avaient pas été dans la bonne direction? ». « Et ils dirent: «Si nous avions écouté ou raisonné, nous ne serions pas parmi les gens de la Fournaise».
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Les caractéristiques, les caractères et les choses qui devront être pris comme un modèle à suivre. A cet égard, il faut prendre comme un modèle à suivre, toutes les choses qui s’inscrivent dans le cadre de bonnes œuvres et qui sont faites pour l’agrément de Dieu ; et ce dans tous les domaines, que ce soit les actes d’adoration et de dévotion, comme la prière, le jeûne, le Jihad, recommandation du bien, l’interdiction du mal, ou que ce soit la morale, les mœurs et les comportements. A ce propos, le noble coran, dit : « Ils croient en Allah et au Jour dernier, ordonnent le convenable, interdisent le blâmable et concourent aux bonnes œuvres. Ceux-là sont parmi les gens de bien ». « Nous les fîmes des dirigeants qui guidaient par Notre ordre. Et Nous leur révélâmes de faire le bien, d’accomplir la prière et d’acquitter la Zakat. Et ils étaient Nos adorateurs ».
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Donc, pour suivre la vénérée Zynab( bénie soit-elle), il faut se familiariser, en premier lieu, avec ses traits saillants. Ici, nous vous en citons, quelques-uns.
Le premier trait saillant qui caractérise la personnalité de la vénérée Zaynab, que la paix de Dieu soit sur elle, est sa foi. La vénérée Zaynab était au sommet de la foi. La preuve en est son endurance et sa résistance face aux grandes difficultés, à Karbala. Face à ces souffrances et difficultés, elle résista comme une montagne et ne se laissa jamais ébranler par ces problèmes. Même dans les moments les plus difficiles, causés par les souffrances de Karbala, elle n’ignora même pas un seul instant le rappel de Dieu, à tel point dans la nuit suivant l’événement tragique de Karbala, elle accomplit, assise, (elle n’avait plus la force de rester debout), la prière de minuit, un acte de dévotion recommandé.
La science et le savoir de la vénérée Zaynab( bénie soit-elle).
La vénérée Zaynab, que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur elle, avait une abondance de science et de savoir. Elle apprit la science et le savoir dans le giron de la famille de la révélation, à savoir l’Imam Ali, Fatima, Hassan et Hassan (bénis soient-ils). Elle avait une maitrise parfaite de la science coranique. Elle organisait des cours d’exégèse du coran pour les femmes.[8] Elle avait, également, une maitrise des sciences religieuses, en ce qui concerne la Sunna (la tradition), les Hadiths et le Kalam. La propagation du mouvement de l’Imam Hussein, et la dénonciation de Yazid et ses partisans n’étaient pas possibles, si il n’y aurait pas la vénérée Zaynab, qui ayant une connaissance parfaite de la philosophie du soulèvement de l’Imam Hussein (béni soit-il), déploya un maximum d’efforts pour le propager. L’un de ceux qui avait assisté à son discours, dit : « J’étais témoin que Zynab, fille du vénéré Imam Ali (béni soit-il), prononçait, avec une pudeur maximale et elle parlait avec une telle éloquence qu’on avait l’impression que c’est la parole d’Ali (béni soit-il), qui découlait de sa bouche ».[9] De toute évidence, son auguste père, le vénéré Imam Ali figurait à la tête des savants les plus éloquents et les plus orateurs. La comparaison faite entre elle et son père témoigne de la grande personnalité de la vénérée Zaynab.
La vision politique approfondie vis-à-vis des questions de la société
La juste conception et interprétation de la société et de ses questions d’actualité ainsi que la propagation de la religion et l’invitation à suivre la vérité comptaient parmi d’autres traits saints qui caractérisaient la personnalité de la grande dame de Karbala. Lorsque Ibn Zyad a dit « Gloire à Dieu qui vous a délaissés, qui vous a tués et qui a stigmatisé, en le démasquant, votre mensonge », la vénérée Zaynab( bénie soit-elle) lui répondit avec beaucoup de force et de vigueur: «Gloire à Dieu qui nous a honorés par Son Prophète Mohammad ( que Dieu le bénisse, lui et les siens) et qui a éloigné de nous la souillure. Il ne fait découvrir que le débauché et ne dément que le menteur. Et ce n'est guère notre cas, mais celui d'un autre». Et comment considères-tu ce que Dieu a fait des tiens? dit Ibn Ziyad. Et la vénérée Zaynab lui répondit : « Je n’ai vu que la beauté. Dieu avait décidé qu'ils meurent, et ils se sont donc dirigés vers leurs demeures. Dieu te confrontera avec eux, et là chacun de vous Lui présentera ses arguments, dont IL sera l'arbitre».[10] Cette réplique et ces propos de la vénérée Zaynab témoignent de sa grande personnalité ainsi que de sa grande capacité en matière de débat et de discussion.
Avoir une parfaite connaissance des objectifs et des programmes du mouvement du vénéré Imam Hussein (béni soit-il).
La vénérée Zaynab avait une parfaite connaissance des objectifs et des programmes du mouvement de l’Imam Hussein (béni soit-il), ainsi que de la valeur et de la place de ce mouvement. Elle savait que ce mouvement modifiera, bientôt, l’histoire et mettra un terme au califat des Omeyades. Elle savait que ce bas-monde et l’autre monde appartiendront, finalement, aux croyants, aux justes. C’est le point auquel fait, clairement, allusion, la vénérée Zaynab, lors de son discours devant Yazid : « Déploie donc tes fourberies et tous tes efforts. Par Dieu, tu n'arriveras pas à effacer notre renommée. Tu n'anéantiras pas notre Révélation. Tu n'atteindras jamais notre rang et tu n'arriveras jamais à laver ta honte. Tes avis sont erronés, Tes jours, lorsque le crieur criera, sont comptés et les armées qui tu rassembles seront dispersées. Que la malédiction de Dieu soit sur les injustes. Gloire à Dieu qui a donné au premier d'entre nous le bonheur et au dernier parmi nous le martyre et la miséricorde".[11]
L’obéissance et la soumission à son Imam
La vénérée Zaynab( bénie soit-elle), décida de se mettre aux côtés du vénéré Imam Hussein(béni soit-il), dans son soulèvement contre l’oppression et la tyrannie de Yazid, et alors qu’était une femme mariée et avait des enfants. La vénérée Zaynab prit cette décision parce qu’elle considérait comme un devoir le fait d’obéir à l’Imam et de lui apporter l’assistance. Elle eut, bien sûr, l’autorisation de son époux pour assumer une cette lourde responsabilité. Cela montre que la vénérée Zaynab n’eut aucune hésitation ni doute pour accomplir son devoir, et elle ne chercha aucune excuse ni prétexte pour se dérober à cette responsabilité. Au contraire, elle se joignit, avec certitude à son frère ; parce qu’elle était bien consciente que le soulèvement contre l’oppression et la tyrannie ainsi que la recommandation du bien et l’interdiction du mal étaient une obligation religieuse à accomplir.
Outre ce sens de responsabilité et l’accompagnement du principe des martyrs dans son mouvement, la vénérée Zaynab offrit deux de ses fils, qui furent tombés en martyrs en compagnie du vénéré Imam Hussein (béni soit-il).
[12]
L’endurance et la patience
La vénérée Zaynab fit preuve d’une immense et indescriptible endurance face aux souffrances et difficultés et à tel point qu’elle devint le modèle parfait des endurants, dans l’histoire, et là où l’on parle de l’endurance et de la résistance, c’est le nom de la vénérée Zanyab qui vient à l’esprit comme un exemple à suivre par les endurants. L’humiliation des tyrans et des oppresseurs, la défense vaillante et les efforts inlassables pour la continuité de l’Imamat et la préservation de la vie de l’Imam Sajjad (béni soit-il), dans ces occasions où il étai exposé aux dangers, la propagation du soulèvement d’Achoura, et la consolidation de ses fondements et de ses valeurs, comptaient parmi d’autres caractéristiques de cette vaillante et courageuse femme de Karbala.
Dr. Aisha Abd al-Rahman(Bint al-Shati), décrit, dans son livre, l’héroïne de Karbala, d’une très belle manière : « Zaynab( béni soit-elle), est le miroir complet d’une femme courageuse qui accomplit un exploit, dans les moments très difficiles et critiques. On lui donna le titre de la femme vaillante de Karbala ; car elle fut la première dame à compatir, dans les moments difficiles, avec les orphelins et les captifs, et à se présenter au chevet des agonisants. Elle se révolta pour venger le sang des martyrs dont les cadavres nus restèrent à Karbala. Elle ne laissa pas que les sangs versés, injustement, soient bafoués. En dépit de sa courte vie après l’événement d’Achoura (un an et demi), elle sut enflammer le chagrin et le deuil de cet événement tragique dans le cœur des Chiites et cette flamme ne s’éteindra pas jusqu’à à la fin du monde. Dans cette courte période, cette grande dame sut changer le cours de l’histoire et rendre amer le goût de la victoire provisoire et apparente, à Ibn Zyad, à Yazir et aux Bani Omeyades et ce à tel point que cela stigmatisa et discrédita, le gouvernement omeyade ».[13]
In incombe, aux jeunes musulmans, mais aussi, à tous ceux qui sont épris de liberté ; de prendre la vénérée Zaynab, comme un modèle à suivre dans tous les domaines, que ce soit sur le plan individuel que social ; car ; premièrement, ils se conduiront, eux-mêmes, sur le chemin de la félicité et du bonheur et deuxièmement ; ils s’attèleront, à leurs devoirs et responsabilités pour revitaliser et appliquer les valeurs au sein de la société. Bref, la vénérée Zaybab, fille du vénéré Imam Ali, que la paix et la bénédiction soient sur eux, a bénéficie de la lumière de la connaissance et de la foi de la famille prophétique ; il est, donc, du devoir des jeunes de profiter de cette lumière pour parcourir le chemin du salut et de la perfection.
[1] La sainte sourate 33, le verset 21, la sainte sourate 60, le verset 4.
[2] La Voie de l’Eloquence( Nahj ul-Balâgha), Le Soleil sans le crépuscule, Traduit par Ma’adikha’h, Abd ul-Madjid, sermon 159.
[3] Makarem, Nasser, Tafsir Nemouneh, t.17, p.243, Dar ul-Kutub al-Islamiya, 20ème publication, 2002; Khatib, Abd ul-Karim, Al-Tafsir al-Qu’rani Lil Qu’ran, t.11, P.678.
[4] Kulayni, Kafi, t.2, pp.376-377, Téhéran, Dar ul-Kutub al-Islamiya, 1986.
[5] Idem, t.1, p.43.
[6] La sourate 2, le verset 170; la sourate 38, le verset 43.
[7] La sourate 3, le verset 114; la sourate 67, le verset 10.
[8] La Revue “ Didar-e Ashena, Seyyed Nejad, Seyyed Sadiq, n°25.
[9]Ibn Nama al-Hilli, Muthir al-Ahzan, p.86, Qom, L’école de l’Imam al-Mahdi( que Dieu hâte sa venue), 1406 de l’hégire lunaire.
[10] Allamah Majlissi, Bihâr al-Anwar, t.45, pp.376-377, Beyrouth, l’Institut Al-Wafa, 1404 de l’hégire lunaire.
[11] Idem, p.135.
[12] Amin, Seyyed Mohsen, ‘Ayan al-Shi’ah, t.7, p.137, Beyrouth, Dar al- Taarof lel Matbuat.
[13] Aisha Abd al-Rahman(Bint al-Shati), La Dame Zaynab, pp.9-10, 157-158.