Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : Les entreprises, les banques, les cabinets juridiques, les consultants en relations publiques et les associations professionnelles y prolifèrent, s'employant à peser sur les règles, sur les lois et les directives qui façonnent le marché unique, encadrent les accords commerciaux et régulent le comportement économique et commercial dans une Union de 507 millions de citoyens. Dans la capitale belge, le lobbying est une industrie qui pèse plusieurs milliards d'euros et la ville compterait jusqu'à 30 000 lobbyistes, presque autant que d'employés à la Commission !
Depuis le Traité de Lisbonne et l’élargissement des pouvoirs du Parlement, les eurodéputés sont devenus une cible de choix, et contrairement aux commissaires qui ne peuvent rencontrer que des représentants de lobbies dûment signalés dans le « registre des lobbies », les parlementaires peuvent rencontrer qui bon leur semble, sans avoir à le signaler, estimant pour la plupart, que leur mandat d'élu les autorise à multiplier les rendez-vous, sans avoir à rendre des comptes.
S’inquiétant de cet état de fait, ALTER-EU, un regroupement d'ONG connu pour son travail sur les lobbies, a proposé, le 31 mars, un code de conduite « renforcé », pour que le Parlement ne devienne pas le jouet des groupes d'intérêt.
Parmi les recommandations listées : éviter tout autre emploi, en plus de son mandat de député européen, qui pourrait créer un éventuel conflit d'intérêts ; éviter tout contact avec l'industrie du tabac ; ne rencontrer que des groupes d'intérêts figurant sur le registre officiel des lobbies de l'Union ; refuser les cadeaux d'une valeur supérieure à 50 euros ; ne pas accepter, si possible, de voyages payés par de l'argent de compagnies privées ; au moment de terminer son mandat, s'imposer une période de deux ans avant d'accepter un poste lié à l'actualité européenne…
Parmi les groupes d’influence, figurent, notamment, ceux qui ont des objectifs idéologiques et politiques. Le premier d’entre eux est le lobby sioniste qui, en février 2012, a poussé à la création d’un Parlement juif européen, sans que personne ne s’en émeuve et dont l’objectif clairement énoncé est la défense de l’intérêt d’Israël !
Le Parti Anti Sioniste dénonce la mainmise des lobbies sur le Parlement européen et pose la question de l’indépendance de Bruxelles vis-à-vis de ces divers groupes de pressions, dont le plus puissant est, sans nul doute, celui qui vise à promouvoir l’idéologie criminelle sioniste.
Il est temps que les peuples d’Europe prennent conscience et s’émancipent de l’influence néfaste du sionisme, et reprennent leur destin en main.
source : abna